DeathMask du Cancer
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Date d'inscription : 10/04/2015
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Localisation : Un trou paumé dans l'Ardèche
 | Sujet: DeathMask du Cancer, psychopathe pour vous servir. Offre ni reprise ni échanger.  Mar 21 Avr - 12:16 | |
| Nom : DeathMask (Masque de Mort en français). Nom de naissance (fandom) : Angelo.
Role : DeathMask du Cancer est un chevalier intrépide, à tendance sociopathe. Ce psychopathe aime les bagarres, le massacre, décorer son temple avec ses trophées, fièrement arrachés à ses victimes qu'il n'hésite pas à exhiber par vents et par monts. Il est peu apprécier par ses pairs, son caractère ne facilitant pas la tâche. Il se fiche un peu beaucoup de l'autorité et fait un peu ce qu'il veux.
Passé : DeathMask est né Angelo, dans la région de Campani, au sein de la province de Naples, dans la nouvelle Pompéi. La nouvelle ville se situant à l'Est de l'ancienne ville, il lui arrivais très souvent d'échapper à la surveillance de l'orphelinat pour aller fureter dans les ruines des cendres. Peu rebuter à patouiller gaiement dans les monceaux de corps figés, il jouait de ses sens pour échapper aux autorités qui auraient pu vouloir le jeter du site.
La mort as toujours fait partie intégrante de sa vie. Né de la mort, sa mère perdit la vie en lui donnant naissance, son père, inconnu de la famille ne s'est jamais manifesté. La famille, trop pauvre pour s'occuper d'une bouche de plus, le laissèrent à un orphelinat religieux de leur ville. De par son apparence physique, il a souvent été mis de côté par les autres enfants. Les religieux se forçaient à le traiter comme un enfant normal.
Angelo a toujours sentis le retrait des gens avec lui, ce qui lui forgea un caractère très défensif. Son cosmos s'éveille lors de ses sept ans, alors qu'il est sur le point d'être adopter par une famille. Effrayer par ce qu'ils pensent être la manifestation du Mâlin, les religieux décident de purifier le corps de l'enfant, en le plongeant dans l'eau bénite. Ce fut à cet instant qu'une lueur dorée se fit présente, avant qu'Angelo ne disparaissent. Les religieux oublièrent totalement, grâce à cette lumière d'or, l'enfant du diable.
Lorsque Angelo reprit rouvrit les yeux, il n'était plus trempé et ni dans l'église, mais dans un lit précaire, entouré de marbre et de pierre. Le Sanctuaire allait désormais être sa nouvelle demeure.
Particularité : Il a les cheveux blancs et les yeux rouges, ce qui déstabilise souvent les gens, lorsqu'il les regardent dans les yeux. Il a beaucoup plus d'affinités avec les animaux qu'avec l'homme. Non pas qu'il est des sentiments pour les amis à fourrures, seulement, les animaux sont, de son avis, bien plus appréciables que l'homme. Il n'est donc pas rare de le voir dans les bois qui longe le sanctuaire, ou bien dans les écuries. Il est d'ailleurs un excellent cavalier. Si vous mangez chez lui (vous êtes déjà un élu de dieu, à part si vous êtes le plat de résistance) et qu'il vous sert des pâtes, ne les coupez surtout pas ! La dernière personne à l'avoir fait désormais office de décoration murale. Il a une vision de la vie bien à lui et il lui arrive de partir dans des monologues philosophique et psychologique sur tout et n'importe pas. Il aime beaucoup la lecture et la poésie, mais comme cela ne colle pas avec sa personna de psychopathe, il le fait en cachette. (Souvenez vous de ses murs). Comme aucunes servantes ne voulaient venir s'occuper de son temple, il s'est démerder à faire le ménage de son temple et de ses visages et a finis par développer une certaines maniaquerie. Il ne supporte donc pas que l'on foute le bordel dans son chez-lui ! Non mais ! Il sais aussi faire la cuisine, fort heureusement pour lui.
Autres : Ronchon, mal luné quand il est fatigué, tenant plutôt bien l'alcool, il a un humour un peu spécial. Franc, il dit tout haut ce que pense les gens tout bas. Il n'es pas du genre à prendre des pincettes, il a quelque chose à dire, il le dit. Lui par contre, il faut faire attention à la tournure de vos phrases, il est du genre à prendre facilement la mouche.
Il n'est pas matérialiste, il ne s'attache pas aux choses, si c 'est cassé, c'est cassé. Pour lui, la mort n'es pas une fatalité, mais un cycle continuel. Concernant la mort, encore une fois, elle lui est tellement quotidienne qu'il ne s'en formalise pas plus, toute chose à une fin, qu' il soit rapide ou non, le trépas n'es que la suite de la vie. | |
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